Programmes de concerts

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Autour du Fairy Queen d’Henry Purcell

Une version intimiste d’extraits (airs et danses) d’un des plus beaux « opéras » de Purcell inspiré du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare

  • Aniella ZINS, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • Claire SECORDEL, flûtes à bec
  • Catherine WOHLHUTER, flûtes à bec
  • Hélène RYDZEK, viole de gambe
  • Christine HÉRAUD, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h10 de concert

L’ensemble Le Masque qui tire son nom de ce divertissement de cour très en vogue en Angleterre à la fin du XVII ème siècle – « the Mask » – , présente une version de poche de l’ Opéra « Fairy Queen » d’Henri Purcell, dont le livret est une adaptation du Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare.

Entre un exercice d’équilibriste et une envie de faire de faire sonner autrement ce petit bijou typiquement anglais, les musiciens proposent une version autour des principaux airs des personnages féminins et des danses qui donnent une vitalité à la fois endiablée et rêveuse à l’ensemble de l’oeuvre.


L’Europe baroque selon Jacob Van Eyck

« Cette magnifique soirée a rencontré un succès enthousiaste mérité ou la qualité musicale le disputait à l`inventivité scénique. ››

Dernières nouvelles d’Alsace

Témoin de la vie musicale du XVII ème siècle, ]acob Van Eyck, illustre flûtiste et carillonneur de la cathédrale d`Utrecht, a collectionné plus d’une centaine de mélodies qui, en traversant l`Europe, sont devenues de véritables tubes à l’époque.

  • Aniella ZlNS, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • lsabelle HARO, viole de gambe
  • ]ean-Sébastien KUHNEL, luth, théorbe, guitare
  • Thomas VANDEVENNE, percussions
  • Eva VALTOVÁ, orgue positif et /ou clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h20 de concert

Le programme proposeé par le Masque nous plonge dans l’univers musical de Jacob van Evck. Cet illustre carillonneur de la cathédrale d’Utrecht laisse une prodigieuse oeuvre pour son instrument, la flûte à bec. Témoin de son époque, il a collectionne plus d’une centaine de mélodies, empruntées a des auteurs célèbres comme John Dowland ou Etienne Moulinié, d’autres entendues dans les rues ou dans les tavernes, des airs à danser, des hymnes, des airs de cour français, des mélodies sur des psaumes luthériens chantés a l’église,…

Devenu aveugle, ce virtuose de la flûte à bec dicte ces airs qui sont édites en 1646 dans le recueil Der Fluyten Lust-Hof, où se croisent le populaire et le savant, le profane et le sacré.

C’est du haut des beffrois que jacob van Eyck jouait ces mélodies au carillon qui rythmait la vie quotidienne aux Pays-Bas au XVII ème siècle. Les mélodies servaient surtout de prétexte a une technique d’ornementation et d’improvisation propre à la musique instrumentale de cette époque.

À partir d’une mélodie simple, il s’amusait à élaborer des variations en rythme croissant, donnant une idée du niveau d’aisance technique et de virtuosité pratiquée alors.
Les musiciens nous proposent d’entendre ces mélodies au moment où leur destin croise celui de ]acob van Eyck.

Le programme illustre surtout la vitalité et la mobilité de ces mélodies. En effet, chacune d’elles recueille une infinité de sources, d’abord vocales, dont la plupart sont devenues à l’époque, en traversant l’Europe, de véritables «tubes››. Par exemple, une mélodie peut trouver son origine clans un air de cour en France, se parer d’un texte sacre en Hollande, convenir à l’écriture harmonique, idiomatique d’un luth ou d’un virginal ou être utilisé par un violon et une basse continue.
C’est grâce au travail de Ruth van Bank Griffoen, comparable à celui d’un détective explorant les ramifications de ce répertoire, que ce programme a pu se réaliser. Nous poursuivons cette voie et continuons à croiser ces destins.


Telemann ou les goûts réunis

« Leandro Marziotte, par la plénitude et la richesse de sa Voix, honore ces airs et les sert avec une facilite déconcertante»

(Dernières nouvelles d’Alsace)

Ce programme vous invite dans un salon à Hambourg ou à Paris. Vous y entendrez des cantates avec voix solo à la déclamation naturelle et expressive, et des quatuors écrits avec le charme du style galant et du goût français.

  • Leandro MARZIOTTE, contre-ténor
  • Delphine GROS, violon
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • Chantal BAEUMLER, viole de gambe
  • Christine HÉRAUD, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h15 de concert

Georg-Philipp Telemann a laissé une œuvre impressionnante dans tous les styles et tous les genres de musique, aussi bien pour les professionnels que pour les amateurs. Il a écrit pour l’Opera, le Théâtre, l’Église et le « Service Divin » ; il a en effet composé plusieurs cycles de cantates, selon un ordre liturgique très précis.

Formées de deux airs entourant un récitatif, ces cantates pour voix de soprano trouvent leur originalité dans la distribution instrumentale. La vois chantée dialogue avec deux instruments de dessus très concertants (violon ou flûte), dans un style expressif et très audacieux, contrastant avec la langue allemande très archaïque de l’époque.

Pour ce programme, les instrumentistes joueront aussi des sonates en trio, rappelant à quel point Telemann connaissait avec finesse à la fois les qualités techniques et expressives de chaque instrument. Certains mouvements de ces Sonates sont inspirés du folklore polonais que Telemann a eu l’occasion d’ apprécier lorsqu’il était Maître de Chapelle en Haute-Silésie.


Transcriptions baroques

Dialogue insolite entre un accordéon et une flûte à bec.

« Un accordéon sublime la finesse baroque. La cascade des notes est traduite dans une sorte de fragmentation qui pénètre les sens au plus profond. L’instruinent apporte une finesse qui magnifie sans conteste la dentelle baroque. Le geste du musicien contribue lui aussi à l’élégance de l’exécution.. »

DNA

  • Bogdan NESTERENKO, accordéon
  • Marc HERVIEUX, flütes à bec

Entendu lors d’un programme de musique baroque, Bogdan Nesterenko a démontré avec évidence et succès qu’avec son instrument, l’accordéon, il était très à l,aise dans ce répertoire plus ancien. Suite à ce concert et à une volonté de jouer ensemble, Marc Hervieux et Bogdan Nesterenko ont souhaité construire un programme dans une formation nouvelle et inédite.

Semblable à un orgue dans la continuation du son et doté de dynamiques et de registres de jeux très contrastes, l’accordéon est un instrument idéal, tant pour la réalisation harmonique de la basse que pour la partie concertante d’un clavier joue par la main droite.
Evidemment, ces deux instruments ne se sont jamais rencontrés, ni a travers leur histoire, ni a travers leurs répertoires… Pourtant, ils se croisent aujourd’hui dans un programme réunissant des oeuvres connues et moins connues du répertoire baroque.

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Critique de concert, extrait de presse.

Davantage de vidéos sur ce programme sur la page vidéos

Durée: 1h15 de concert


Concert dans le goût italien

« Le public a été envoûté par l’extrême qualité de l’exécution. »

Le Républicain Lorrain

« L’ensemble Le Masque a une nouvelle fois montré sa grande finesse d’ïnterprétation. »
L’Alsace

  • Marc HERVlEUX, flûtes à bec
  • Eva VALTOVÁ, clavecin
  • Tristan LESCENE, violoncelle

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

(Euvres de Georg Friedrich Haendel, Antonio Vivaldi, Arcangello Corelli, Michel Blavet

Durée: 1h15 de concert

À travers ce programme, les musiciens vont faire entendre quelques aspects forts de ce style italien qui a beaucoup influencé les compositeurs et inondé les cours européennes au XVII ème siècle. Le rôle quasi divin donné au chant et à la ligne mélodique, l’alternance des mouvements lents et vifs, dont les caractères et tempi sont poussés à l’extrême et enfin la grande liberté d’execution laissée à l’interprète dans la phrase et dans l’ornementation, toujours au service de l’expression, credo de ce style italien.

Vers 1752, Johann Joachim Quantz, flûtiste et professeur de Frédéric ll de Prusse, 21 écrit un traité et une méthode pour la flûte ainsi que  plusieurs remarques pour servir au bon goût dans la musique. Des Italiens, il dit « qu’ils ne se mettent pas de bornes à la composition ; leur manière de penser est grande, vive, expressive, raffinée et élevée ; ils sont un peu bizarres, libres, hardis, effrénés, extravagants, quelquefois
négligents dans la pulsation, mais leurs pensées sont chantantes, flatteuses, tendres, touchantes et riches d’inventions.


Noël Nouvelet

« La chanteuse a fait merveille.  Sa virtuosité était pleine d’aisance. »
L’Alsace

  • Anne L’ESPÉRANCE, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûte à bec
  • Chantal BAEUMLER, viole de gambe
  • Eva VALTOVÁ, clavecin

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Durée: 1h10 de concert

C’est avec la chanteuse canadienne Anne L’Espérance, au timbre chaleureux et a la déclamation a la fois naturelle et théâtrale que les musiciens présentent une collection de chansons traditionnelles et populaires de France et d’ailleurs du XVème au XVIIème siècle.
Des pièces souvent plus savantes de Marais, Scarlatti, Sammartiní aux couleurs festives et éclatantes seront jouées aux instruments.

Un concert plein de saveurs et de chaleur composé a la fois d’airs populaires et de musique savante pour entrer dans la magie du temps de Noël…


Si dolce è il Tormento

C’est une musique à la fois expressive et très intimiste. Des contrastes agréables, tant du point de vue des instruments que des répertoires choisis. Une complicité savamment entretenue, un jeu d’associations qui fait oublier toute lassitude, une présence sur scène inhabituelle «dans ce genre de répertoire. Une grande puissance émotionnelle. ››

DNA

  • Aniella ZINS, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • ]ean-Sébastien KUHNEL, théorbe
  • Lisa ERBES, Violoncelle
  • Eva VALTOVÁ, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h20 de concert

Nous sommes au début du XVIIème siècle en Italie, à la période de la naissance de l’opera. Qu’il soit vocal ou instrumental, dans un caractère fiévreux ou au contraire plaintif, chaque passage peut exprimer « les affetti », les tourments humains. C’est aussi la découverte du rôle fondamental de la basse-continue qui va accroître encore davantage le pouvoir expressif et émotionnel du chant.

Dans des madrigaux pour voix et basse ainsi que dans des pièces de Frescobaldi, Castello ou Cima aux formes encore expérimentales, les musiciens vont faire entendre une musique a la fois théâtrale et sensuelle.


Vivaldi et le Mystère des demoiselles della Pietà

Le Masque qui sait si parfaitement évoquer, aussi bien les ambiances cle cour que les décors de la vie populaire du temps jadis, a charmé  un public de connaisseurs ravis de se replonger, le temps d’un concert, dans ce monde de beauté et d’l1armonie… . »

La revue du Liban

  • Christophe GREILSAMMER, récitant
  • lrène MICHAILIDIS, récitante
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • Renata DUARTE, hautbois baroque
  • Jonathan NUBEL, violon
  • Anais RAMAGE, basson baroque
  • Eva VALTOVÁ, clavecin

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Durée: 1h20 de concert

Antonio Vivaldi a compose ces concerti da camera à plusieurs instruments vers 1725 pour les jeunes filles d’une des plus célèbres scuole (conservatoires) de Venise, l’Ospedale della Pietà, située non loin de la Basilique San Marco. Dans cette pieuse institution, Vivaldi exerçait les fonctions de professeur, de chef d’orchestre et de compositeur. Ces jeunes orphelines, au talent musical reconnu, lui offraient un « matériau » idéal pour ses créations.
Le concerto en trois mouvements contrastes, véritable basse obstinée de son œuvre, offre une palette d’expressions très variées. Semblables à des personnages hantés par les masques de la commedia dell’arte, chaque instrument apparait avec sa personnalité et sa spécificité : rondeur du hautbois, humour et pertinence du basson, théâtralité du violon, chant de la flûte, impétuosité de la basse.
L’alternance entre les trois mouvements, vif – lent – vif, et les couleurs majeur et mineur nous plongent dans les mouvements d’humeur et de caractère symbolisant la Venise du XVIIIème siècle : spontanéité et extravagance, nostalgie et douceur, carnaval et fête.
Des témoignages d’époque et des extraits de récits imaginaires accompagnent ce programme.

Textes :
Tiziano SCARPA : Stabat Mater, 2008
]ean-Jacques ROUSSEAU : Les Confessions, 1769


Les Amours de Haendel

A la lueur d’une bougie, Haendel écrit à son ami le compositeur Mattheson.
Il interroge ses souvenirs, parle de sa passion pour l’ltalie et du musicien européen qu’il est,…tout en laissant résonner sa musique.

  • Stéphane RONCHEWSKI, comédien
  • Aniella ZINS, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • Chantal BAEUMLER, viole de gambe
  • ]ean-Sébastien KUHNEL, théorbe
  • Eva VALTÔVÁ, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h20 de concert

A la lueur d’une bougie, Georg Friedrich Haendel écrit à son ami le compositeur et théoricien ]ohann Mattheson qui veut faire un portrait de lui. Haendel va interroger ses souvenirs et parler de lui, l’Allemand qui va s’user à faire pousser dans Londres un opéra italien…, décrire les rivalités et jalousies entre les chanteuses italiennes…
Il parle aussi de son maître Zachow à qui il doit d’être musicien, de son admiration pour l’Italie et pour Venise, de son inlassable curiosité pour les œuvres et les styles étrangers.
Il se disait un Allemand de culture latine, un musicien européen.
Quand Haendel s’arrête d’écrire, sa musique résonne…
Nous entendrons Corydon, une cantate de Pepusch, initiateur du Beggars’Opéra qui ouvrira le programme. Des airs allemands, une cantate espagnole, une Aria italienne, des transcriptions de l’opera Rinaldo et de la musique instrumentale vont contribuer à donner vie à ce portrait.


Une soirée chez Monsieur Telemann

« »Ses mots touchent les profondeurs de l’âme et nous conduisent vers l’essentiel visible. La voix d’AIain Moussay, son talent, sa capacité à pénétrer l’intimité des mots, sa présence tout simplement, fait de lui le héraut des poètes. »
Robert Grossmamn

  • Alain MOUSSAY, comédien
  • Anieila ZINS, soprano
  • Marc HERVIEUX, flûtes à bec
  • Jonathan NUBEL, violon
  • Jean-Sébastien KUHNEL, théorbe
  • Eva VALTOVÁ, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h15 de concert

Nous sommes dans les années 1730. Monsieur Telemann (1681-1787) nous reçoit chez lui. Nous nous trouvons à la Thomaskirche de Leipzig ou à la cour de Haute-Silésie ou il est maître de Chapelle.
Nous assistons au concert donné par ses musiciens favoris. Au programme : des cantates de l`Harmonischer Gottesdienst, des airs d’opera, des sonates et fantaisies, de la musique de danse…
Georg Philipp Telemann nous parle de sa vie d’homme, de son voyage à Paris, de son goût pour la musique française et italienne et de la fascination qu’il a pour les violoneux et joueurs de cornemuse improvisant à souhait, rencontrés en Pologne. Il parle de cette musique folklorique de Haute-Silesie, comme d`une « pure beauté barbare ».


La Belle au Bois Dansant

Avec la coompagnie L ‘Eclat des Muses.
« Dans l’esprit des comédies-ballets chères à Louis XIV, l’Éclat des Muses, avec le conteur Emmanuel Soulhat et la jeune Elyse Pasquier […] compose un élégant tableau ou les costumes d’époque se conjuguent à la grâce des mouvements de jambes, de bras ou de poignets, et dans lequel une utilisation de l’espace intelligente relève la mise en scène. »

DNA

  • Emmanuel SOULHAT. danseur et chorégraphe
  • Elyse PASQUIER, danseuse
  • Marc HERVIEUX, Flûtes à bec
  • Delphine GRÔS, violon
  • Chantal BAEUMLER, viole de gambe
  • Eva VALTOVÁ, clavecin

Plus d’informations sur les artistes sur la page du Masque;

Durée: 1h20 de concert

L’ensemble « Le Masque » présente un programme autour de la danse, pratique magnifiée par et grâce à Louis XIV, dont le style et l`expression ont fait l’admiration de la cour au début du XVIIIème siècle. Entourée de musiciens, la danseuse et chorégraphe Sarah Berreby fait revivre quelques danses du répertoire tire’ d’opéras-ballets de Lullv. On pourra admirer cette « Belle Danse », véritable symbole du faste des Salons de Versailles, mêlant à la fois la grâce, la noblesse du maintien et la légèrete quasi virtuose des pas et clés jeux de mains. En alternance, les instrumentistes, ensemble ou en solo, interprèteront des œuvres de Francois Couperin, Marin Marais et ]acques-Martin Hotteterre, tous trois musiciens et compositeurs attaches au service de Louis XIV, dont l’ornementation et l’extravagance rappellent l’influence de la musique italienne. Du lever au coucher du Monarque, la journée royale était rythmée par la musique et la danse, expressions mêmes de la vie à la cour, et de ce goût spécifiquement français.